Le 6e rapport du GIEC (AR6, août 2021)
Que dit-il ? Comment a-t-il été préparé puis validé par les états ? Quels sont les aspects innovants comparativement au 5e rapport (AR5, 2013) ?
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Dans le cadre de sa venue à Liège pour la remise des insignes de Docteur Honoris Causa, la Professeure Valérie Masson-Delmotte donnera une conférence publique dans laquelle sera abordé le dernier rapport du GIEC.
Pas un jour ne passe sans que l’on évoque le réchauffement climatique ou ses conséquences. Depuis 1988, le groupe d’experts intergouvernemental (GIEC ou IPCC en anglais) s’occupe de compiler toutes les études scientifiques qui traitent des changements climatiques et de les traduire en rapports, principalement à destination de nos dirigeants.
Le 6e rapport du Groupe de travail I (Climate Change 2021: the Physical Science Basis; les fondements scientifiques du changement climatique) publié le 9 août 2021 a réuni 234 auteurs (de 66 pays) répartis en 31 auteurs coordonnateurs, 167 auteurs principaux et 36 éditeurs-réviseurs, assistés de 517 auteurs collaborateurs.
Ce rapport de 3949 pages est accompagné d'un résumé pour les décideurs validé, point par point, par les tous les gouvernements siégeant à l'ONU (42 pages) et d'un résumé technique (159 pages).
Mais que dit ce rapport tout récent ? Comment a-t-il été préparé et par qui ? Quels sont les aspects nouveaux et innovants de ce rapport comparativement au 5e rapport (AR5, 2013) ?
Pour répondre à ces questions, Valérie MASSON-DELMOTTE, climatologue et vice-présidente du WG1 du GIEC donnera une conférence dans le cadre de sa remise des insignes de Docteur Honoris Causa de l’Université de Liège.
Conférence gratuite, mais inscription souhaitée.
En raison des règles sanitaires, un Covid Safe Ticket ainsi qu'une pièce d'identité seront requis pour accéder à la conférence.
Muni·e du Covid Safe Ticket, le port du masque ne sera dès lors pas obligatoire. Soyez libre de le porter le cas échéant.
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