La Professeure Anne-Sophie Duwez, directrice du Laboratoire Nanochem (Unité de recherches MolSys / Faculté des Sciences) de l’ULiège vient de se voir attribuer le prestigieux "Feynman Prize in Nanotechnology" dans la catégorie expérimentale. Ce prix récompense ses travaux de recherches en matière de nanotechnologie et plus particulièrement sur la construction de produits de précision atomique.
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réés en 1993 en l'honneur du physicien Richard Feynman (Prix Nobel de Physique en 1965 et dont le célèbre discours de 1959 "There's Plenty of Room at the Bottom" est considéré comme ayant inspiré le début du domaine de la nanotechnologie), le prix Feynman en nanotechnologie est décerné tous les ans par le Foresight Institute (USA) à des scientifiques dont les travaux ont contribué à des avancées significatives en nanotechnologie, tous domaines confondus (physique, chimie, biologie, médecine, etc.). Deux prix sont décernés chaque année, un pour des travaux expérimentaux, l’autre pour des travaux théoriques. Ces prix prestigieux honorent des chercheurs dont l'excellence des travaux récents ont le plus avancé la réalisation de l'objectif de Feynman en matière de nanotechnologie : la construction de produits de précision atomique.
Cette année, le jury a désigné Anne-Sophie Duwez, professeur de Chimie à l’Université de Liège comme lauréate du prix, dans la catégorie expérimentale. Le professeur Anne-Sophie Duwez développe des outils et des technologies pour interfacer des molécules synthétiques fonctionnelles avec l'AFM afin d'en étudier le fonctionnement. Elle a été la première à réussir à appliquer la spectroscopie de force sur molécule unique basée sur l'AFM à une petite molécule synthétique de quelques nanomètres de long. Au cours de la dernière décennie, elle a été pionnière de la mesure des propriétés mécaniques de molécules individuelles sur des machines moléculaires synthétiques dans une série d'études influentes et à fort impact. Ses réalisations ont mis en évidence l'importance de la conception moléculaire dans la synthèse de machines moléculaires artificielles efficaces et ont fourni des informations sans précédent sur leur fonctionnement.
Ce projet constitue une approche innovante de la gestion et de la planification urbaine. Il permettra par exemple à la Ville de Liège de monitorer l’arborisation dans le cadre de son plan Canopée.
Une étude qui a utilisé le modèle climatique MAR développé par des chercheurs de l'ULiège afin de prédire le risque de pertes de météorites du à la fonte de la calotte glaciaire.
Xavier Raick a brillamment réussi son doctorat et a reçu la pleine reconnaissance de sa qualité au travers du Prix “Oceanography and Oceans Protection”.
